Retraite en Espagne : France et Espagne, qui est la meilleure et en quoi ?

12 min de lecture

Cécilia, espagnole francophone et étudiante en droit, a trouvé amusant de confronter l’Espagne et la France à travers un match, et Aleksey Vidal, de l’agence Retraite en Espagne, s’est prêté au jeu. Qui est le meilleur en musique et en gastronomie ? Quel pays est le mieux pour vivre ? Aleksey, franco-espagnole, partage son expérience et offre un comparatif personnel entre les deux pays.

Au travers de notre canal youtube ainsi que notre groupe facebook, nous parlons de démarches administrativesimpôts, comment acheter en Espagne, mais aussi de tourisme et faits culturels. Nous disposons également d’un guide gratuit très complet concernant la Retraite en Espagne, cliquez ici pour le télécharger. Il est important de considérer que cet article concerne le sud de l’Espagne, qu’il est basé sur une expérience et un avis personnel. Toujours avec une touche d’humour, un sourire, et surtout : de l’amour, pour ces deux beaux pays. Bonne lecture !

France ou Espagne : Quel pays est le mieux pour vivre ?

Nous parlons de deux beaux pays, chacun ayant ses qualités et ses défauts, comme partout ailleurs. J’ai vécu dans les deux pays et il est vrai que j’ai une préférence pour l’Espagne. Pourquoi ? Omettons la partie émotionnelle du propos. Premièrement, le mode de vie, l’ambiance et la sécurité. L’Espagne est un pays plus sûr que la France. Soyons également sincères : le coût de la vie a eu une influence sur mon choix.

D’ailleurs, c’est un point qui motive aussi pour passer sa retraite en Espagne. En Espagne, je pouvais profiter de mon salaire et faire plaisir à ma famille et à mes amis en les invitant au restaurant, par exemple. En France, cette « générosité » était plus restreinte. Par ailleurs, le style de vie était un élément décisif : moins anxiogène, moins stressant, même si parfois l’aspect plus « relaxé » des Sudistes pouvait s’avérer stressant (sourire).

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Cependant, je ne peux contester que l’élément décisif de ma vie en Espagne a été émotionnel. Déjà parce que c’est le pays de mon père, le pays où je venais en vacances depuis ma naissance, où j’ai ma famille et où j’ai fini par m’installer. Ceux qui nous connaissent et nous lisent savent qu’Eduardo (co-directeur de la société « Retraite en Espagne », ndlr) est à la fois mon collègue et mon conjoint.

Parfois, c’est l’amour qui vous fait changer vos plans. Par la suite, nous avons créé notre société « Retraite en Espagne ». Nous nous sommes spécialisés dans la recherche immobilière et l’accompagnement dans toutes les démarches administratives liées à l’achat et à l’installation en Espagne. Nous sommes d’ailleurs la seule entreprise à fournir un service aussi complet. Ainsi, notre agence, la propriété que nous avons achetée, sont autant d’attaches qui me font choisir l’Espagne plutôt que la France.

En ce qui concerne la gastronomie, Aleksey de « Retraite en Espagne », choisirait-elle l’Espagne ou la France ?

C’est une question épineuse. Il faut éviter les raccourcis trop rapides. L’Espagne, avec l’Italie et la France, fait partie des pays phares de la gastronomie. Dire qui a la meilleure gastronomie n’est donc pas aussi facile qu’il y paraît. Connaissant les trois et ayant encore beaucoup à apprendre, je dirais cependant que je préfère la gastronomie française. En plus, en France, nous avons une grande variété de fromages et, comme ceux qui passent leur retraite en Espagne, cette diversité fromagère me manque beaucoup.

Français ou Espagnols ? Quelle population préfères tu ?

En ce qui concerne la population, je préfère les Espagnols. Si nous contextualisons, les habitants du sud de l’Espagne sont très chaleureux, et je ne suis pas la seule à le dire d’ailleurs. Je trouve que leur sympathie est communicative et qu’ils peuvent se montrer très aidants. Parfois même, ils se compliquent l’existence pour aider un étranger ne maîtrisant pas la langue. C’est une véritable valeur. Quelques fois, les Français ne se montrent pas très coopératifs et peuvent être peu agréables. Faisons une généralité : je trouve qu’en France, les gens sont plus individualistes, moins dans le contact, même en Provence. Cela ne signifie pas que ce n’est pas bien, mais que cela me convient moins.

En Espagne, les français ont la réputation d’être des râleurs, et vous savez quoi ? C’est bien vrai. D’ailleurs, je m’octroie souvent le droit de « râler », et si on me le reproche, j’aime bien rappeler que c’est en « râlant » que l’on a obtenu, dans le passé, des droits. C’est ce que j’aime chez les français. Ils osent, ils protestent, ils devraient d’ailleurs donner des leçons aux espagnols à ce sujet (sourire).Et puis, ne nous plaignons pas non plus. Que l’on vive en France ou en Espagne, nous sommes quand même privilégiés, même si beaucoup de choses devraient changer. C’est vrai, nous avons la liberté de pouvoir encore dire ce que nous pensons. De nous habiller comme nous le souhaitons, de vivre notre vie comme nous l’entendons et ce n’est pas le cas partout.

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J’ai grandi dans une triple culture, j’ai pris du côté de mon père (espagnol) cette facilité de contact, le plaisir de recevoir, l’âme festive, aussi. Par contre, dans la région où j’habite, Murcie, l’approche de la politesse est très différente de celle qui m’a été inculquée. Les Espagnols vont directement à la requête et se passent de ce qu’ils catégorisent comme « exagéré ». Lorsque je retourne en France, j’apprécie cette courtoisie, cette politesse, même si à l’étranger elle est vue comme superficielle. D’ailleurs, je n’ai jamais réussi à me détacher de mon éducation française, c’est ce qui me fait très vite « repérer » par les natifs, outre quelques fois l’accent français qui apparaît dans la prononciation de certains mots. (Sourire)

Les traditions, l’Espagne ou la France ?

Une fois de plus, je dirais l’Espagne, mais j’aurais aimé dire « Joker« . En effet, la France est mère de belles traditions. Malheureusement, je trouve que nous en avons beaucoup perdu et que nous en perdons de plus en plus. Il y a quelques régions d’irréductibles qui persistent à faire vivre leurs traditions, comme la Bretagne, par exemple. Mais dans d’autres régions, les traditions ont revêtu, si elles existent encore, le vêtement du « fait sur mesure pour le touriste ». Dans d’autres endroits, on les oublie. C’est dommage, parce que c’est comme une perte de notre identité.

Si l’on compare avec l’Espagne, sans aucun doute, les traditions sont beaucoup plus vivantes qu’en France. D’ailleurs, certaines sont même « ressuscitées« , en exemple, l’étrange carnaval d’Alsasua. C’est pour cette raison que je choisi l’Espagne. Il y a aussi des traditions très curieuses qui peuvent choquer les nouveaux venus, mais qui ne perturbent pas autant les espagnols ou locaux. Il y a la procession des cercueils, qui je me souviens, lors de la parution de notre article, avait choqué nos lecteurs. Alors que c’est derrière, une belle histoire : celle de la guérison.

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Les traditions ne sont pas toutes « glamour« , elles ne sont pas toutes « esthétiques« . Bien sur qu’il existe une tradition moins plaisante, mais dont l’intérêt est en chute. On nous met toujours au premier plan la corrida, comme si elle était la seule à exister. Je met cela sur le compte de la méconnaissance de notre beau pays et encourage les gens à voir plus loin.

Les gens qui passent leur retraite en Espagne finissent toujours par nous le dire : les traditions sont vivantes et mises en avant. C’est une réalité, au-delà des discours de marketing et de tourisme. Je trouve que c’est un atout, tant sur le plan touristique que dans la vie quotidienne pour les Espagnols. En fait, l’identité est très importante pour moi. Je cumule plusieurs origines et j’aime connaître leurs traditions, leur gastronomie, mais aussi explorer une sphère plus intime. En l’occurrence, je pense aux chansons pour les enfants, aux contes et aux légendes.

Passer sa retraite en Espagne, est-ce que c’est pour moi ?

Les nationalités de mes ancêtres, leurs croyances, leur statut et leurs décisions politiques pouvaient créer des divergences et des oppositions, et pire encore. Et oui, je suis l’issue de plusieurs Roméo et Juliette (sourire). Les gens savent s’aimer en défiant les interdits, c’est beau, n’est-ce pas ? C’est bien de savoir qu’envers et contre tout, il y a de l’humanité, qu’on est capable de tout par amour. C’est réconfortant de le savoir. Alors je crois que c’est un peu le devoir de chacun de garder vivant qui nous sommes, de penser à ceux qui ont franchi les interdits et les frontières pour des raisons qui les concernent.

En Espagne, je me sens comblée de ce côté, car j’ai ce sentiment « d’appartenir » à quelque chose. Il y a tellement de fêtes, de traditions, vivantes ou même ressuscitées ! Il y a une véritable volonté de la part des Espagnols de conserver leur identité et de la célébrer. De transmettre aux enfants, je trouve que c’est un acte très beau. De mon côté, sans prétention et avec amour pour l’Espagne, j’essaie de partager, via notre canal YouTube et notre blog, les traditions espagnoles avec nos lecteurs. Je considère qu’elles sont un facteur d’intégration et qu’il est important de connaître son nouveau pays. Passer sa retraite en Espagne, c’est bien plus que la combinaison paella-sangria-playa.

Le journal d’Aleksey : Le dimanche, à la campagne Espagnole.

C’est être face à un pays dont on a beaucoup à découvrir. J’espère vraiment encourager les lecteurs et les clients à s’intéresser en profondeur à nos traditions. D’ailleurs, certains de nos clients participent désormais à la Semaine Sainte, ils vont aux fêtes locales, d’autres apprennent des danses traditionnelles, etc. Vous voyez, ça, c’est un beau cadeau. Pour moi, c’est une retraite en Espagne réussie.

L’Histoire, celle de la France ou celle de l’Espagne ?

Indiscutablement, la France. Même si l’histoire de l’Espagne est très riche et passionnante, la France reste le pays des droits de l’homme, du siècle des Lumières, de la laïcité, du droit des enfants, des travailleurs et des penseurs. Même si beaucoup de choses ont grandement changé, on ne peut réfuter l’aura de la France. Quel beau pays, qui a eu tant d’audace ! Je pense, là tout de suite, à cette magnifique chanson de Jean Ferrat, « Ma France ». Une ode pleine d’amour et pourtant sans filtres.

Néanmoins, j’encourage vivement ceux et celles qui passent leur retraite en Espagne à s’intéresser à l’histoire de leur pays d’accueil. Déjà, parce que c’est de la culture et que celle-ci est toujours bienvenue. Ensuite, parce que ce sera un atout vraiment apprécié par les Espagnols. On dit « fier comme un hidalgo« , et c’est bien vrai. Si un retraité francophone montre qu’il s’intéresse à l’Espagne au point de scruter son histoire, il sera très bien perçu. L’histoire espagnole est aussi complexe qu’intense. Le patrimoine n’est que le reflet de sa splendeur.

Préfères tu la langue espagnole ou française ?

Le français. C’est une langue magnifique, riche en vocabulaire et en subtilité, avec des sons qui chantent à l’oreille. Surtout lorsque l’accent se met au milieu. J’aime aussi le français pour sa difficulté. Je suis admirative des étrangers qui apprennent le français, car c’est une langue compliquée. Déjà, je considère que beaucoup de Français ne savent pas parler leur langue correctement (et moi la première), alors imaginez quelqu’un d’étranger à ce langage ! Partager la même racine (le latin) facilite certes l’apprentissage pour les Espagnols mais cela reste un défi. Nombreux gardent un accent lorsqu’ils parlent le français et je trouve que c’est tout à fait charmant.

Soyons sincères : il n’y a pas tellement de débouchés professionnels à parler le français. Plus de 500 millions de personnes dans le monde parlent l’espagnol. Le français, aussi riche et beau qu’il soit, n’offrira pas de nombreuses perspectives. Vous savez ce que j’aime par-dessus tout ? Ce sont les gens capables d’apprendre une langue pour l’amour de l’art, comme par passion. Eduardo a appris le français tout seul. Il continue de le perfectionner en le pratiquant, en lisant. J’ai des amis qui ont appris le français pour pouvoir lire Pétrarque, Albert Camus et Sartre en version originale. Ce désir de saisir « l’essence » même du français est magnifique. D’ailleurs, je regrette de perdre mon français ; je ne pensais pas qu’il était possible de perdre sa langue maternelle.

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J’aime placer des mots peu usités lorsque j’écris dans mon journal, même parfois sur le site de « Retraite en Espagne ». Lorsque je parle, il paraît que soudainement j’ai une sorte d’accent espagnol qui peut surgir. En regardant ensuite mes vidéos sur notre canal YouTube, je constate que je traduis parfois de l’espagnol au français. Ou alors, je forme ma phrase à l’espagnole. Cela donne des résultats curieux. Au début, je demandais à ce que nous tournions à nouveau la vidéo. Mais maintenant, non. Je considère que c’est tel que je suis. En plus, cela fait sourire, c’est bien d’apporter un peu de sourire.

Par contre, il y a quelque chose que j’aime beaucoup dans la langue espagnole, c’est qu’elle est réfractaire aux anglicismes. Je trouve que le dictionnaire français est dévoyé par l’invasion des anglicismes, dont on pourrait allégrement se passer étant donné la richesse de notre langue. J’ai un côté puriste, d’ailleurs, j’évite de dire « week-end« , je dis « fin de semaine« . Par contre, c’est affreux en français, car le monde du travail, voire même du quotidien, se noie maintenant dans des mots anglais. Parfois, j’ai l’impression d’être en décalage face au « corporatif », alors qu’on a les mots en français correspondant au propos.

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Alors, certes, une langue évolue, c’est normal. Mais l’espagnol, lui, fait de la résistance. Il y a quelque temps, j’ai eu vent d’une critique d’un réalisateur ou d’un directeur qui a prétendu que l’espagnol était une langue du tiers monde. J’espère que c’était une phrase sortie de son contexte, parce que sinon, c’est une preuve évidente d’un manque de culture et de connaissance. Comment pouvons-nous prétendre une chose pareille, lorsque des écrivains espagnols et hispanophones ont écrit des œuvres qui touchent n’importe quel citoyen de ce monde ?

Que quelqu’un ose me dire que la langue espagnole n’est pas riche lorsque l’on a sur la scène littéraire des emblèmes comme Federico García Lorca et Cervantes, des Quevedo, Neruda, Miguel Hernández et d’autres encore ? J’ai toujours une citation, une phrase d’auteur espagnol sur mes lèvres. Alors, on ne va pas faire les olympiades sur qui a les meilleurs écrivains, c’est impossible. De plus, de battre mon cœur s’est arrêté quand j’ai commencé à lire les auteurs hispanophones. (Sourire)

La musique ?

Cela dépend du moment. Actuellement, je dirais l’Espagne, ou plus correctement : la musique en espagnol. On englobe ainsi les pays d’Amérique du Sud. Je préfère les nouveaux sons en espagnol, plus entraînants, plus joyeux. Parfois, je n’ai pas envie de penser, seulement de danser. J’aime bien C. Tangana ; son dernier album « El Madrileño » et son parti pris pour mettre en avant la tradition musicale m’ont convaincue. Dans le même registre, « El Mal Querer » de Rosalía revient régulièrement dans ma liste d’écoute.

J’ai été surprise par le dernier album de Bad Bunny ; je ne l’écoutais pas, mais je trouve ce dernier opus intéressant. Il reprend lui aussi plusieurs traditions musicales d’Amérique du Sud, avec des références à d’autres artistes, la culture latine. Il a réussi à en faire quelque chose de commercial tout en restant « de la bonne musique« . On entend souvent Maluma et Romeo Santos ; c’est sympa pour la fiesta, mais les paroles ne vont pas trop loin.

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Quand j’écoute un peu ce qui se fait en France, je trouve que c’est déprimant, ça ne me donne pas envie de danser. Je n’ai pas non plus une possibilité « d’évasion », et j’aime bien, soit penser, soit rêver en écoutant de la musique. Ce que j’écoute en ce moment en France, c’est Zaho, de Sagazan, Feu Chatterton. Si en revanche, on parle de musique un peu plus « alambiquée » avec de belles paroles, là je sortirais mon joker.

Oui, choisir entre Brassens et Paco Ibáñez, ce n’est pas simple. J’aime ce que les gens disent ici : « des chansons pour les dames« . Rocío Jurado, La Pantoja, Camilo Sesto, Julio Iglesias, c’était de la bonne musique. Il y avait de l’émotion, les thèmes touchent tout le monde. D’ailleurs, beaucoup de jeunes les écoutent. J’écoute Barbara, Brel, Ferrat, Piaf, puis aussi bien du Dalida. Même si ce sont des chansons ayant déjà leurs années, elles ont gardé quelque chose d’intemporel. Si l’on se réfère au flamenco, bien évidemment, les Espagnols sont meilleurs que les Français, c’est indiscutable. En musique classique et opéra, par contre, je dirais la France.

Le sport, la France ou l’Espagne ?

En ce qui concerne le sport, je choisirais l’Espagne pour plusieurs aspects. Déjà, la ferveur des Espagnols à l’heure de soutenir une personnalité sportive locale ou leur pays. L’exemple le plus flagrant est le football. Je ne suis absolument pas intéressée par le foot, mais je suis toujours très amusée de voir les autres Espagnols autant investis dans le soutien. Ensuite, le sud nous offre une pratique annuelle du sport en plein air. Les températures agréables permettent de réaliser des randonnées même en hiver sans attraper une vilaine grippe. Les coûts sont très attractifs par rapport à la France : le golf, le tennis, le pilates, la zumba, la danse…

Avant l’Espagne, je ne pratiquais pas régulièrement une activité physique. En Espagne, j’ai commencé à faire du sport et c’était l’une des meilleures décisions de ma vie. D’ailleurs, j’encourage vivement ceux qui passent leur retraite en Espagne à adopter un mode de vie sain et à faire du sport. En France, ce n’était pas par paresse. D’ailleurs, je m’octroie le droit de faire une parenthèse pour les femmes, car j’en connais plusieurs qui n’osaient pas faire du sport, ni même sortir marcher, avant de passer leur retraite en Espagne ou simplement de s’installer ici. J’étais un peu plus frileuse parce que je ne me sentais pas en sécurité pour faire un jogging seule. La salle de sport me rebutait à cause de l’irrespect de certains hommes.

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Le sport doit aussi être une partie de plaisir, non un supplément de stress, ni une activité qui doit nous mettre en insécurité. En Espagne, je pars marcher ou courir seule, personne ne vient m’importuner, peu importe l’heure. Je souligne également la courtoisie et le respect des messieurs en salle de sport. Le consentement est respecté. Il n’y a pas de regards insistants ou qui vous mettent mal à l’aise. Alors, bien évidemment, quand l’environnement est favorable, quand on se sent en sécurité, lorsque les tarifs permettent aussi d’accéder à diverses activités… Le soleil et la sympathie des gens encouragent beaucoup à sortir faire du sport. En plus, j’aime bien notre ambassadeur qui fait connaître Murcie au monde entier : Alcaraz.

Puis, nous avons des sportifs moins connus dans notre clientèle. La retraite en Espagne est pour eux comme une continuité dans leurs activités sportives, ou alors une nouveauté. Je trouve que c’est un bon choix de commencer une activité physique. J’en connais qui se sont mis à la danse, d’autres au VTT, à la randonnée. Plusieurs femmes aussi, et c’est pour cela que j’en parlais avant, ont débuté une activité physique en Espagne car elles s’y sentent en sécurité. Elles partent marcher, vont faire de la gymnastique. C’est une façon de se maintenir en forme et aussi de se faire des amis.

Merci pour votre lecture ! La suite prochainement.

Témoignages des clients de « Retraite en Espagne »

Témoignage Client 1
Consulter le second témoignage Client
Témoignage Client 3
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