Journal d’une expatriée en Espagne : La vieille maison espagnole

vielle maison espagnole
La ville de Lorca. Image d’illustration – Getty Image

Bien avant d’être chasseur immobilier pour Retraite en Espagne, j’étais attirée par les vieilles maisons. Même, depuis toujours, du plus longtemps que je m’en souvienne, elles me plaisaient. Que leur architecture soient singulière, ou plus classique, les vieilles maisons m’ont toujours paru être un grand terrain de jeu. Lorsque j’ai commencé à alterner ma vie entre France et Espagne, j’ai pas mal vadrouillé, à pied, en auto-stop, en train, je localisais les vieilles maisons, pour aller par la suite, les voir en vrai. J’avais 0 idée de l’immobilier, mais un bon carnet d’adresse grâce à mon travail. Une fois en France, j’en profitais pour parler de la vieille maison espagnole, son histoire, captivant sans le vouloir, mon petit public. On m’avait même dit « vous pourriez faire agent immobilier » et j’avais ri… Or, je n’imaginais pas que quelques années plus tard… Mais secrètement, cette idée, me plaisait.

Même si nous sommes plutôt orientés sur des biens neufs, ( c’est ce que recherche une grande partie de notre clientèle) je rêverai d’être un jour sollicité pour l’achat d’une maison ancienne… Surtout que nous nous chargeons de superviser sa reconstruction, c’est aussi un service que nous proposons dans notre agence immobilière mais assez parler de travail. Voici mon journal en Espagne, que je tiens depuis 2014. Bienvenue dans mon univers. Je vous souhaite une bonne lecture

La vieille maison espagnole est une mémoire, elle est un voyage dans le temps

La mémoire est quelque chose d’important. C’est tout du moins ce que j’en pense .Depuis toujours, j’ai été attirée par le passé. Longtemps j’ai cru que c’était parce que j’étais incapable d’être dans le présent parce que je ne trouvais incompatible à tout. Je préférais regarde Arte que les dessins animés. J’allais jouer avec les outils de maçonnerie, m’improvisant dans la gadoue cheffe de la construction d’un mastaba pour les animaux défunts.

J’adorais par dessus tout aller à La Villa , cette vieille maison dans la petite fôret, où l’on ramassait les champignons, où les rosiers nous livraient des roses aux parfums exeptionnels, qui après la pluie s’entremelaient à l’odeur de la terre fraichement retournée par le passage des sangliers. Le château aussi, où vivait des clients à mon père. Je crois n’y être allé qu’une seul fois, et j’étais submergé d’émotion de pouvoir passer les portes de cette demeure.

Il y avait un gosse engoncé dans un justaucorps avec un short moulant.

Il faisait du patin à roulette dans hall en suçant une chupa-chups. Je pensais qu’il allait tomber dans les escaliers tant il passait près de ceux-ci. Parfois les souvenirs d’enfance ont quelque chose d’abscons. On voit quelque chose de merveilleux, et on se souviendra d’un détail absurde. C’est du même ressort qu’emmener les petits en vacances, leur montrer des endroits qu’ils n’ont jamais vu, et une fois le voyage fini, les entendre dire à leurs petits copains « les vacances c’était trop bien on a vu un chat noir et blanc sur une chaise jaune« .

Alors, je sais que par rapport au travail de mon père, je suis rentrée dans de nombreuses maisons, mais, il ne me reste plus de souvenirs, mis à part peut être, que des flashs. En venant en Espagne j’avais l’impression, de me créer un nouveau stock de découvertes, et cette fois-y je prendrai tout en photo.

L’envie de protéger et de « sauver » cette vieille maison espagnole

J’avais cette envie de transmettre quelque chose de protéger de sauver. Ce quelque chose d’inée chez moi.Je ne sais par quel génie, j’ai réussi à rentrer dans tant de maison ancienne. Peut-être parce que j’étais là, avec mon grand sourire, me sentant petite et humble. Et que je disais tout simplement « Oh que la maison est belle, je sais que je vais paraître étrange mais quelle est son histoire ? ». Je rajoutais, rapidement « je suis la petite-fille de » et la soudainement, j’avais l’impression que ça m’ouvrais les portes, dans le vrai sens du terme.
Pendant des années je suis passé devant une maison traditionnelle et typique espagnole, je la soupçonnait d’être abandonné. Parfois les volets étaient ouverts parfois fermés. C’est d’elle, dont je vais vous parler. De base carrée, elle avait sur son toit une discrète petite tour.

N’est pas Vidal qui veut, et nous sommes « connus » pour être de vrais têtes de mules. J’ai « découvert » cette maison en 2013 et je me suis obstinée : m’arranger pour que tout les chemins soit disant menant à Rome me fasse obligatoirement passer devant la vieille maison espagnole. M’y rendre le matin à 10h, le soir à 20h. Musarder autour en faisant l’inventaire consternant, de chaque fissures dans les murs. Soit, en 2017 mes efforts eurent raison de moi, et c’est sans le vouloir, par habitude, qu’en passant devant la maison j’ai vu sortir un petit homme.

C’était l’été 2017.

C’était l’été, il faisait terriblement chaud. J’avais j’avais les pieds serrés dans des escarpins fermés en cuir et sanglés de cercles métalliques. Je me souviens avoir soulevé mon chapeau pourrais arranger mes cheveux dont la sueur imbibait mes doigts gantés. Je portais cette robe longue noire. C’était encore l’époque où trop accroché à mon style des 50′ je sacrifiais mon confort. Oh ! « Bonjour monsieur, excusez moi ! ». Le vieux pépé m’a regardé dubitatif. Il a du se demander d’où je sortais.

J’en profitais pour retirer mes gants,

coeur haletant, « Ça fait des années que je passe devant votre maison, et je le trouve vraiment très belle.Plusieurs fois je suis resté attendre que quelqu’un en sorte mais je n’ai jamais vu personne.Je sais que je vais vous paraître étrange mais j’aime les vieilles maisons. Je pense qu’elles ont des histoires à me raconter. » Le grand-père m’a tout simplement souri, et m’a répondu « Mademoiselle pourquoi n’avez-vous pas tapé à ma porte je vous aurais ouvert !« 
J’ai répondu que même si à lui cela lui paraissait évident, qu’il se mette à ma place : c’est quand même étrange de taper à la porte d’un inconnu et de lui dire « coucou c’est beau chez vous, vous me faîtes la visite ?« . Il avait éclaté de rire, je crois qu’il devait un peu s’ennuyer ce jour chaud d’été, tapis dans l’ombre de sa demeure.

« Si ça vous fait plaisir… »

Je m’attendais à ce qu’il me disent au-revoir, s’en aille vaquer à ses occupations mais… Il m’a tout simplement proposé de rentrer dans sa maison. Dieu que j’avais mal aux pieds et je sautillais pourtant « c’est vrai monsieur, vous êtes d’accord, c’est vrai ?« . Et lui, affable « Ben j’ai l’impression que la maison vous plaît c’est pas grand-chose pour moi je suis tout seul je m’ennuie allez venez rentrer je vous montre« Le hall était typique. Carrelage en bas du mur, sans un coup, le reste, blanc, ponctué par le bois. Il me semblait que la maison n’avait pas bougé depuis les années 20 et je me sentais manquer d’yeux pour tout mémoriser.

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Il faisait terriblement chaud, l’air condensé été brassé, par plusieurs ventilateurs de toute tailles. Le bourdonnement continu de ces derniers, donnait la sensation d’être rentré en plein dans un essaim de guêpes. Leur alliance désespérée parvenait quand même à un semblant de fraîcheur. Il m’a proposé quelque chose à boire. J’ai accepté, en prenant le soin de me présenter et d’exposer ma généalogie. « Mon arrière-grand-père c’était untel.Vous avez peut-être même connu mon arrière-grand-mère si vous êtes ici. Elle était je pense assez populaire. » Conviée dans le salon, je m’asseyais à cette table qui avait du voir les dîners des gens importants. Le luminaire au dessus de celle-ci n’était pas allumé, Art déco, il n’était plus capable de refléter la salle dans le cuivre de ses joues. Il était devenu le miroir de l’âme de cette maison : superbe, mais un peu éteinte.

vieille maison espagnole
Image d’illustration – Mallorque – Getty Image

L’intérieur de la vieille maison espagnole était un voyage dans le temps

Dans un coin, la télévision était des années 70. Il y avait des bibelots un peu partout, un beau buffet, un grand miroir, bien que tout était disparate, j’y trouvais mon compte, une certaine cohérence même. J’ai commencé à sourire. Tout l’intérieur de la vielle maison espagnole était bloqué dans le temps. Je venais de faire un voyage spatio-temporelle. J’avais l’impression d’être à mon époque finalement avec ma tenue, mon chapeau, mes gants, mes chaussures tout d’un coup, je ne détonnais plus dans les rues. J’étais à ma place. Dans cette vieille maison espagnole. Celui qui semblait étranger était le propriétaire, habillé normalement. Je regardais les horloges. J’adore les horloges je les collectionnent. Les vieilles, bien entendu, pas les récentes.

Je m’arrête aux années 50 et c’est une collection un peu particulière et encombrante dont j’ignore l’origine.

Fascinée par le temps. Malgré la chaleur, la propriété restait quand même fraîche. Ce n’était pas du à la grande armada de ventilo, mais au murs, épais. La chaleur qui embrassait mon corps s’estompait agréablement, et tout ce tissus paraissait se décoller de ma peau. J’ai passé mes doigts sur la table n’avait ni poussière, ni trace, légèrement grasse par rapport à la cire d’entretien. Ça c’est de la qualité. C’est dur de trouver des tel meubles aussi « beaux » maintenant. Enfin, si, il y en a, mais plus personne n’en veux.

« Y’a qu’a vous que cela plait, les vieilles maisons, tout le monde dit qu’il faudrait tout casser, refaire neuf »

Étonnamment il n’y avait pas poussière dans cette maison. Tout semblait propre. Je me demandais comment ce monsieur tout seul pouvait maintenir en ordre et propreté une telle maison. Le propriétaire revint, déposa deux verres d’eau sur la table. Je faisais ma curieuse, demandant un peu plus de détails sur la vielle maison espagnole. Il m’expliquait que certaines parties de la maison commençaient à s’effondrer. Pourtant, dans un de ses yeux verts sans âge, je lisais un certain amusement : « y’a qu’a vous que cela plait, les vieilles maisons, tout le monde dit qu’il faudrait tout casser, refaire neuf« .

Non. Il n’y a pas qu’a moi que ça plait, les vieilles maisons.

Mais, on n’a pas tous la même culture, la même sensibilité. « C’est vrai que la maison a besoin de travaux, mais pourquoi tout casser et pourquoi tout jeter ? Votre maison est histoire .Vous savez toutes les choses que vous avez là, bien moi j’adore. J’en achète même c’est pour vous dire.Le problème, c’est terrible, c’est l’inculture. Les gens n’ont pas de culture, ils vont casser quelque chose que d’autres rêverait d’avoir. Il vont jeter un objet dont serait ravi un antiquaire. » Il a ri silencieusement, en ajoutant comme sur la fin d’un souffle « vous, vous n’êtes pas d’ici« . On m’a toujours dit cette phrase, et toujours je l’ai considérée comme un compliment. « Je suis d’un peu partout, mais aujourd’hui je là et vous n’imaginez pas combien cela me fait plaisir, c’est une très bonne journée !« 

« Monsieur, vous avez l’air d’être bien, ici. »

Je ne sais pas, si il passait une bonne journée. Je pense, que j’apportais ; sans prétention ; dans sa solitude, un peu de réconfort. J’ai la conversation et le rire facile, je sais que pour les personnes âgées, la solitude n’est pas toujours un choix. J’avais des choses de prévues ? Le Futur attendra. « Je suis un vieux monsieur alors ça ne coûte rien, est-ce que vous voulez voir le patio ? » J’acquiesçais, vous vous en doutez.

Le couloir – j’ai oublié – présentait au loin une lumière, qui nimbait l’espace d’une sorte de douceur. Le patio n’était pas comme je l’imaginais, il était de vieilles pierres caressées simplement par les rayons du soleil. Il s’élevait une plante ; par je ne sais quel art, ; plante immense mais discipliné, qui s’appropriait le patio espagnol. La lumière sur ces grandes feuilles vertes en forme de cœur, était tout simplement magnifique.Il y avait une sorte de texture adoucie. C’était une véritable rupture avec l’intérieur de la maison, assombrie par un de ces vieux meubles obscurs. Une chaisse, en bois et en paille, comptait les encore les fessiers innombrables qui s’y étaient posé.

« Monsieur, vous avez l’air d’être bien, ici.« 

Les mains dans son dos, les yeux rivés sur la plante, il répondait sereinement « C’est un plaisir. Vous attendez que la nuit tombe, et puis, elle vient. » Silence. J’aurai tant de références littéraires à vous donner pour ce patio. Poesie, arabo andalouse. Je regarde autour de moi, et décide d’annoncer mon départ, ne souhaitant pas abuser de la gentillesse du monsieur. Je l’ai remercié pour sa grande amabilité, il m’a répondu, que j’étais ici chez moi et que je pouvais revenir.

Il me suffisait de taper à la porte. Il y serait, il ne sort jamais d’ici. « Je suis un vieux monsieur maintenant je ne peux plus me permettre d’aller courir à droite à gauche« . J’ai promis venir la semaine prochaine. Il était si content, de rencontrer quelqu’un, qui ne veuille pas détruire sa vieille maison espagnole. La vieille maison espagnole est une femme, dont ils veulent teindre les cheveux, lifter les rides.

La vielle maison espagnole est une femme

À ce moment là, je suis cette jeune femme de 24 ans, assise face à cette honorable dame séculière. Je sais qu’elle a des choses à me dire, tant d’histoires ! Alors, elle s’effondre parfois, mais elle n’a pas besoin d’être considérée comme invalide, elle a juste besoin d’une béquille. Qu’ils ne la maintienne pas dans le silence. Qu’il ne lui ravale pas la façade, qu’ils se contentent de réparer les cicatrices de son visage, de lui redonner l’éclat de sa jeunesse. Qu’ils ne teignent pas ses cheveux gris, ils ne sont pas sales, ils sont juste encrassés par le sable, la terre, la pluie, bientôt ils seront à nouveau roux, tuiles âpres gardant la cocarde du temps.

Ils croient que la vieille maison espagnole est une femme qui ne sait plus provoquer le désir, seulement évoquer le dégoût !

Peur ils ont, se nourrissant de la manne de la jeunesse, croyant que ce goût repousse leur propre mort ! La vieille femme, elle, elle en a vu des tourments, elle a vu les guerres elle a vu les drames, mais elle est souveraine après tant de douleur, elle ne demande qu’a vivre, qu’a aimer ! Ils pensent que la vieille dame est une sorcière, parce qu’elle a le savoir, elle sait déjouer l’embûche, savoir le vrai du faux. Qu’ils croient tous, qu’elle est hantée, ils ne savent tout simplement pas sentir, les prémices de l’amour, l’érection de cette tour, pierre du diadème sur sa tête, la première caresse du printemps ! Elle est hantée, oui bien sûr ! Elle est hanté du souvenirs des amitiés et des amours. Maison du bonheur dont vous ne retenez que le drame mais qui, digne, vous promet la paix et les délices de la vie.

On devrait se battre pour elle.

On devrait se battre pour elle. Vouloir la séduire, la conquérir, même si c’est elle qui nous a attirée ici, avec sa palabre, la langueur de son soupir. Elle est unique, on n’en fera plus des comme elle, racée et noble, mais pourtant si simple, si accessible. Il suffit de parler son langage. De mettre la main sur les murs de ses épaules fraîches, caressée par la mousse granuleuse, des cheveux blancs de salpêtre. On peut tout détruire. Mais on peux relancer la danse. Elle attend.

J’étais cette jeune femme de 24 ans assise dans la vieille maison espagnole. Et je n’avais pas peur. Dans la lumière dispersée sur les murs et les bibelots, tout était pour moi comme une évidence. J’ignore comment je le savais, mais j’avais d’ores et déjà la certitude : un jour, je sauverai des maisons, des histoires. Cette expérience aux yeux des autres serait banale mais au miens paraîtra extraordinaire. C’était un peu plus de bois au feu de ma passion pour l’immobilier. Et pour tout ce qui est de la mémoire et du passé.

En attendant Godot…

La semaine suivante, lorsque je suis venue au rendez-vous, j’ai trouvé la maison fermée. Tous les volets étaient fermés. J’ai toqué à la porte, et il n’y avait pour réponse que l’écho de ma propre voix. J’attendis. Personne ne vint. Lendemain. Sur-lendemain. Maison toujours fermés, pas de signe de vie. Je suis rentrée en France. À min retour en Espagne, quelques temps après, la maison était ouverte à nouveau. Je n’ai pas osé toquer. Imaginez, quelqu’un d’autre que le grand-père m’ouvre la porte, que dire ? Alors j’ai pensé à une certaine possibilité. Je me suis demandé, si après ces dernières confessions, le vieux monsieur ne s’était évanouit comme la lumière qui diminue lentement, dans le patio parce que tombe le soir. « C’est un plaisir. Vous attendez que la nuit tombe, et puis, elle vient. » Elle vient. Toujours. Elle vient.

Peut être qu’elle est venue à lui, c’était la perspective, qui semblait la mieux lui plaire. Je n’ai jamais revu le vieux monsieur, quand j’ai essayé d’en parler autour de moi, personne ne le connaissait, personne ne l’avait jamais vu. Je suis certaine qu’en ce moment même, alors que la nuit tombe, il y a encore dans le patio, la chaise. Dans un peu plus d’une heure, le firmament sera scindés par les feuilles de la plante verte. Et la femme, à l’encolure de sa bouche humide, attendra le baiser amoureux et sensible, qui lui redonnera la passion.

Merci pour votre lecture !

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Hasta luego !
Aleksey et Eduardo de Retraite en Espagne.

1 réflexion au sujet de « Journal d’une expatriée en Espagne : La vieille maison espagnole »

  1. Tu me surprendras toujours dans la façon dont décris les choses. En te lisant, dans ma tête, je m’imaginais cette maison espagnole. Sa beauté, ces lumières. Je suis comme toi, j’aime les vieilles pierres car pour moi elles ont un vécu et beaucoup de chose à nous raconter si on prends la peine de les écouter. Merci pour ce récit.

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